Je vous avais promis hier la suite de ma saga « Desperate Housewife et Facebook ». Une actualité brûlante me force à changer de plan.
Le film « Un jour sans fin » ça vous rappelle quelque chose ? Bill Murray en Alain Gillot Pétré imbuvable et blasé (mais more attractive quand même) y est piégé dans une tempête de neige, in the middle of nowhere et obligé de revivre tous les jours le même jour que la veille.
Une sorte de Sisyphe de la météo, condamné à l’ennui de « l’éternel retour ». Il y est nietzschéen ; ce qui ne le tue pas le rend plus fort, et il devient finalement ce qu’il est : un type au fond sympa qui gagne le cœur de sa dulcinée. Le sort est alors rompu : il redevient mortel certes, mais il peut désormais mourir dans les bras d’Andie Mc Dowell. Cool non ? Tout est bien qui finit bien, un excellent film du dimanche soir. Si le titre français retient l’aspect philosophique de l’histoire, son titre original « Groundhog day » fait référence à ce qui se passe ce jour-là dans le film « groundhog day » (le jour de la marmotte).Il s’agit en fait d’une coutume du nord de l’Amérique qui veut qu’à la Chandeleur on réveille une marmotte (quand je pense qu’en Californie l’importation de foie gras est interdite pour traitement cruel des animaux… quelle hypocrisie !) pour en déduire le temps qu’il fera. Si elle sort de son terrier et ne voit pas son ombre car le temps est nuageux, c’est que le printemps sera précoce, si elle est effrayée par l’ombre projetée et retourne dans son terrier, l’hiver sera long. Un genre de « Noël au balcon, Pâques au tison ». Chaque pays a les Almanachs qu’il peut…. Tous ont la même portée scientifique, celle de la blague de l’Indien (je vois déjà Jade, très politiquement correcte ce qui n’est pas plus mal car elle ne votera pas Trump, qui me dit : « Maman on ne dit pas « Indien » on dit « Native American c’est la maîtresse qui l’a dit »). L’indien donc, à qui on demande comment sera l’hiver répond : « quand homme blanc couper beaucoup de bois, hiver être très très rude ». En l’occurrence, la formule hier fut « There is no shadow to be cast ! an early spring is my forecast ! ». My own forecast : faudrait peut être que les Républicains cessent enfin de nier qu’il y a bien un changement climatique, bordel ! On nous avait parlé des hivers rudes ici ??? J’avais acheté ma doudoune Canada Goose avant les soldes… mes bottes de neige. Encore de l’argent foutu à la poubelle ! à peine 70 cm de neige et encore dans Manhattan histoire de les emmerder parce qu’ils ne savent pas déneiger… Quand je pense que je vais bientôt devoir me racheter un maillot de bain pour aller à la piscine. Ce coup-ci je vais anticiper : j’achèterai un maillot en fourrure, des moufles et un bonnet.
Le film « Un jour sans fin » ça vous rappelle quelque chose ? Bill Murray en Alain Gillot Pétré imbuvable et blasé (mais more attractive quand même) y est piégé dans une tempête de neige, in the middle of nowhere et obligé de revivre tous les jours le même jour que la veille.
Une sorte de Sisyphe de la météo, condamné à l’ennui de « l’éternel retour ». Il y est nietzschéen ; ce qui ne le tue pas le rend plus fort, et il devient finalement ce qu’il est : un type au fond sympa qui gagne le cœur de sa dulcinée. Le sort est alors rompu : il redevient mortel certes, mais il peut désormais mourir dans les bras d’Andie Mc Dowell. Cool non ? Tout est bien qui finit bien, un excellent film du dimanche soir. Si le titre français retient l’aspect philosophique de l’histoire, son titre original « Groundhog day » fait référence à ce qui se passe ce jour-là dans le film « groundhog day » (le jour de la marmotte).Il s’agit en fait d’une coutume du nord de l’Amérique qui veut qu’à la Chandeleur on réveille une marmotte (quand je pense qu’en Californie l’importation de foie gras est interdite pour traitement cruel des animaux… quelle hypocrisie !) pour en déduire le temps qu’il fera. Si elle sort de son terrier et ne voit pas son ombre car le temps est nuageux, c’est que le printemps sera précoce, si elle est effrayée par l’ombre projetée et retourne dans son terrier, l’hiver sera long. Un genre de « Noël au balcon, Pâques au tison ». Chaque pays a les Almanachs qu’il peut…. Tous ont la même portée scientifique, celle de la blague de l’Indien (je vois déjà Jade, très politiquement correcte ce qui n’est pas plus mal car elle ne votera pas Trump, qui me dit : « Maman on ne dit pas « Indien » on dit « Native American c’est la maîtresse qui l’a dit »). L’indien donc, à qui on demande comment sera l’hiver répond : « quand homme blanc couper beaucoup de bois, hiver être très très rude ». En l’occurrence, la formule hier fut « There is no shadow to be cast ! an early spring is my forecast ! ». My own forecast : faudrait peut être que les Républicains cessent enfin de nier qu’il y a bien un changement climatique, bordel ! On nous avait parlé des hivers rudes ici ??? J’avais acheté ma doudoune Canada Goose avant les soldes… mes bottes de neige. Encore de l’argent foutu à la poubelle ! à peine 70 cm de neige et encore dans Manhattan histoire de les emmerder parce qu’ils ne savent pas déneiger… Quand je pense que je vais bientôt devoir me racheter un maillot de bain pour aller à la piscine. Ce coup-ci je vais anticiper : j’achèterai un maillot en fourrure, des moufles et un bonnet.
Ps :
1) vous aurez peut être demain la suite du feuilleton d’hier…ou pas imaginez que Mamaroneck soit bloquée au sein de l’éternel retour du même. Vu comment je dois m’améliorer, j’ai intérêt à rester bloquée un paquet de temps !
1) vous aurez peut être demain la suite du feuilleton d’hier…ou pas imaginez que Mamaroneck soit bloquée au sein de l’éternel retour du même. Vu comment je dois m’améliorer, j’ai intérêt à rester bloquée un paquet de temps !
2) Pour ceux qui veulent approfondir : Si vous voulez avoir le verdict de la marmotte Phil de Punxsutawney (la ville du film) voici le lien :http://nypost.com/…/no-shadow-punxsutawney-phil-predicts-e…/
Tales of the Village 