Vendredi soir, il y a une semaine, alors que je somnolais d’un oeil dans les derniers rayons du soleil qui arrosaient le jardin, tout en me lamentant intérieurement de la difficile condition de Desperate Housewife, j’entends soudainement parler français sur le chemin qui mène au Club House du quartier. Constantin et Armelle partaient inspecter l’état d’avancement des travaux de la piscine en cours de rénovation. Lire la suite
Mois : Mai 2016
Festival de Cannes 2016 – « Vanitas vanitatum, omnia vanitas »
Finies les paillettes… Minuit a sonné et la « would be – ou plus tôt – has been princess » se retransforme en Desperate Housewife. A Mamaroneck, jeans et baskets c’est quand même plus pratique que les talons, surtout pour le car pooling. Ouf Cannes c’est fini ! Comme pour les plaisanteries, à Cannes la qualité va de pair avec la brièveté, ce que Marie-Pierre Casey résumait dans la publicité pour Pliz (l’ami des Desperate Housewives) par un définitif « c’est tant mieux parce que je f’rai pas ça tous les jours ». Lire la suite
Sweet home Alabama ou pourquoi j’ai décidé de rester Desperate Housewife encore un peu
Lors d’un voyage récent en Alabama où il allait rencontrer des imprimeurs, Brian, un collègue de Jean-Charles originaire de Caroline du Sud, a 
redécouvert le goût de l’Amérique profonde, que quelques années à New York peuvent vous faire oublier. L’Alabama fait partie des « safe red states » ; les Républicains y gagnent toutes les élections depuis 1980, avec une marge très confortable.
En arrivant à l’usine, Brian s’est aperçu que le parking officiel de l’établissement était relativement vide comparé au champ mitoyen. Pourquoi la plupart des visiteurs avaient-ils garé leur pick-up ou leur SUV dans un champ éloigné et poussiéreux ? Lire la suite
Holy crap a baby with a gun bis : les plaisanteries les plus courtes sont toujours les meilleures …. ou pas. De l’humour de répétition ou «bis repetita placent ».
Ils ont de la chance les bébés américains, beaucoup de chance… environ 15 fois plus de mourir d’homicide par arme à feu que dans n’importe quelle nation développée. Quand ils habitent dans un foyer qui possède une ou des armes à feux, cette chance augmente encore.
Dans ma chronique acido-cynique sur les Toddlers qui dégainent plus vite que leur ombre (23 février dernier), j’avais eu la gâchette franchement lourde dans l’humour noir d’un goût douteux que j’affectionne particulièrement. Mais la réalité me dépasse ans les grandes largeurs : le carnage continue chez les Toddlers.