Le 31 décembre dernier ou le premier peut être, je discutais avec deux amis Catherine B et David C. Ils me tannaient pour que je publie mes chroniques dans un blog plutôt que dans mon Facebook : « Non mais Laurence, un post dans FB c’est court, tes chroniques sont pas mal mais BEAUCOUP trop longues. Les gens zappent tu comprends – Euh…, mais toi tu les lis mes chroniques Catherine ? Bon David t’arrête de hocher la tête c’est pénible – Ouuuui j’en ai lu.. uune, enfin je veux dire presque en entier. Tu vois, un blog ça serait mieux – Ah bon, d’accord alors, dans un blog tu les lirais et toi David tu me mettrais des « like » ? –Tu vois ce qui nous intéresse nous, c’est que tu nous dises ce que les Français peuvent apprendre de l’Amérique. – Oui mais Catherine tu me connais, je vois toujours le côté à moitié plein de la bouteille, moi. Faire des compliments c’est pas mon truc. Ca va pas me faire trop de chroniques ton idée .- D’ailleurs j’ai une idée géniale ton blog tu devrais l’inaugurer le 20 janvier. Y aurait au moins une bonne nouvelle dans le monde ce jour-là. Ah oui et « Tales of the City » ou « Chroniques de Mamaroneck » c’est naze comme titre. David, tu penses quoi d’un un truc du genre « journal de résistance d’une Desperate Housewife». – C’est contradictoire votre truc les gars, comment je vais pouvoir dire des choses positives aux Français ? Déjà que c’était pas facile quand Barack était président, maintenant c’est quasiment mission impossible. – Je sais pas moi, démerde-toi. Allez viens on va danser. ».

Et voilà comment, sous l’emprise de l’alcool j’ai promis de transférer toutes mes chroniques sur ce blog… qui s’appellera désormais : Tales of the Village – Chroniques de résistance d’une Desperate Housewife à Mamaroneck, Trumpistan.